Projection de court-métrages présentés par Les Vidéophages dans le cadre de l'exposition "à distance" à la Plateforme d'Art de Muret. .

vendredi 5 avril à 19h30
à la PAM
A la Théâtrerie, 1, square des combattants d’AFN,
31 600 MURET

À distance
Lida Abdul, Tania Mouraud, Valentina Traïanova, Jean-Gabriel Périot Alfredo Jaar, Sophie Ristelhueber

Avec des œuvres de la collection des Abattoirs – FRAC Midi Pyrénées et de la Médiathèque des Abattoirs

Du 21 mars au 2 mai 2013

Plus d'information ici

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Programmation des Vidéophages

« Train de vie »
Documentaire réalisé par les Etudiants du lycée agricole de Flamarens, 12'30, 2004, La Trame. LPA de Lavaur-Flamarens. Pôle Audiovisuel de Flamarens.
Une histoire de l’humanité du bing-bang à une nécessaire décroissance.

« Adieu général »
Une animation de Luis Briceno – France/Chili – 2009 – 5,29 min
En voix off, retour avec humour et autodérision d'un Chilien sur le Chili des années quatre-vingts. À la fois lucide sur les espoirs face à la dictature de Pinochet et nostalgique d'une époque où les rapports humains étaient solidaires et généreux.

« Le Cuirassé Abdelkarim »
Un film de Walid Mattar, 8', 2008, Tunisie, Fédération Tunisienne des Cinéastes Amateurs.
Des jeunes en train d'attendre la délibération de visa, ce papier qui va leur permettre de réaliser leur rêve : partir de l'autre coté de la Méditerranée. Le résultat est négatif mais il faut bien une solution...

« Casus beli »
Fiction de Georgios Zois - 2010 - 11 min.
Production : La voie lactée
Toutes sortes de gens, de nationalité, de classe, de sexe et d’âge différents, font la queue dans sept files d’attente. La première personne de chaque file devient la dernière de la suivante, formant une gigantesque chaîne humaine. Mais au bout de la queue, le compte à rebours commence.

« Chienne d'histoire »
Animation de Serge Avédikian, peintures de Thomas Azuélos , 15', 2010, France, Sacrebleu Productions
Palme d'or du Court métrage au 63ème Festival de Cannes.
Constantinople, 1910. Trop de chiens errants dans les rues de la ville. Le gouvernement nouvellement en place, influencé par un modèle de société occidentale, cherche auprès d'experts européens les moyens de s'en débarrasser avant de décider, seul, de déporter trente mille chiens sur une île déserte au large de la ville. À travers le double regard d'une chienne qui vient de mettre bas et du gendarme qui l'encage, on suit l'exil forcé de ces chiens dont la plupart mourront de faim et de soif.